Sarkozy : président de tous les maux, qu’il dégage !!

Publié le par pc.duclos.cuers

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En 2007, il voulait offrir un toit à chacun, il ya de plus en plus de SDF et de mal logés.

 

En 2007, il voulait permettre de «  travailler plus pour gagner plus », il y a de plus en plus de pauvres au dessous de 950 euros par mois et les restaurants du cœur ne peuvent plus satisfaire à la demande.

 

En 2007, il voulait être le président « du plein emploi », il est devenu celui du chômage de masse ( près de 10 % de la population active ).

 

En 2007, il voulait être « le sauveur de nos usines », 5 ans plus tard, c’est l’industrie, ses salariés  qui ont payé le plus lourd tribut de ce chômage de masse avec plus de 350 000 emplois perdus en un peu plus de 4 ans.

 

Il voulait être le Président de tous les Français, il est celui de ses amis, les patrons voyous et de sa caste à laquelle il a accordé cadeaux fiscaux, allègements ou exonérations de charge.

 

Au final, à quelques encablures de la Présidentielle et des législatives de 2012, cet homme, Sarkozy, aura été le plus grand bonimenteur de la Vième République. Il est grand temps qu’il dégage !!...et ses députés à la botte du libéralisme et de la finance avec lui !!...

 

D’impostures en impostures, cet homme, Sarkozy, aura tenu de tristes records : casse des services publics, de l’école et de la santé, des collectivités territoriales, casse du modèle social français issu du CNR, champion de la paupérisation, de la pauvreté, de la précarisation etc…

Il faudra inscrire tous ces triste records dans les annales sombres de la Vième République, mais au hit parade d’entre eux, le plus brutal, le plus sinistre aura été celui du taux de chômage, le plus élevé des trois dernières décennies.

 

Ainsi, à quelques jours de la fin de l’année 2011, le bilan à mettre à l’actif de l’hyper président aura été hyper négatif !!

 

Les plans sociaux se seront multipliés et les délocalisations également.

Dans ce contexte, le sommet social du 18 janvier prochain ne sera qu’un coup médiatique de plus pour tenter d’enfumer l’opinion.

Alors, pourquoi les syndicats ne le boycotteraient-ils pas ?...Qu’on se le dise…C’est ce que je proposerais si j’étais toujours en charge de responsabilité syndicales.

 

Le chômage est à son plus haut niveau. Il frappe les jeunes, les femmes, les sans qualification, les seniors. Il pèse très lourdement sur les salaires et les conditions de travail pour ceux qui ont la chance d’en avoir un.

 

La politique de président candidat, qui promettait le plein emploi avant la fin de son mandat est un pur échec, une pure faillite.

 

Elle a plongé la France dans la récession, l’austérité et des millions de nos concitoyens sont dans une totale souffrance sociale.

 


Pourtant, les entreprises qui ont imposé des plans sociaux ne sont pas en difficulté  (Arcelor Mittal, Fralib etc..). Elles réalisent des bénéfices et continuent impunément à distribuer moult dividendes aux actionnaires.

 

Elles délocalisent vers les pays où la main d’œuvre est bon marché pour maintenir ou augmenter leur taux de rentabilité et de profitabilité !!... Ces choix politiques et économiques sont de véritables fléaux pour l’avenir de notre pays et pour la population, mais ils sont logiques avec la stratégie de l’économie capitaliste.

 

Au Front de Gauche, nous combattons radicalement ces choix politiques et économiques, ils nous mènent droit dans le mur.

 

Nos propositions, portées par le candidat à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon et par tous les candidats(es) aux législatives tournent le dos à cette casse organisée de notre société et de notre économie.

 

Le développement passe inéluctablement par la hausse des salaires, par l’investissement réel, par la réindustrialisation . Il s’agit la d’impératifs sociaux et écologiques pour remettre la production auprès des populations.

 

Tout est question de volonté politique pour des choix répondant à l’intérêt généra du pays, des entreprises mais surtout des salariés qui créent les richesses.

 

C’est sur ces fondamentaux que la gauche «  digne de ce nom » doit se battre et s’engager très clairement.

 

Pour les militants(es), les responsables, les élus(es) et candidats(es) PCF, partenaire principal du Front de Gauche, il est grand temps de bannir les intérêts privés et la spéculation. Il est urgent de privilégier l’intérêt général en se redonnant les moyens humains et structurels de maitriser le système bancaire, les services publics, les transports et en donnant aussi aux salariés des pouvoirs nouveaux dans leurs entreprises par l’intermédiaire des IRP ( Institutions Représentatives de Personnels ).

 

Certes, la bataille est âpre, les moyens disproportionnés avec des médias au service de l’UMP, du bipartisme, mais ensemble, sur nos valeurs humaines, solidaires et fraternelles nous pouvons mettre une déculottée mémorable au président candidat, j’ai nommé N. Sarkozy.

 

Dans tout cela, la crise tellement invoquée par l’hôte de l’Elysée a bon dos. N’oublions pas que c’est celle de son système, le système capitaliste. N’oublions pas qu’elle sert avant tout à l’accumulation des profits et à l’endormissement des consciences. Stop à l’opération d’enfumage collectif.

 

Alors, amis et camarades, citoyens et citoyennes, emparons nous de 2012 comme d’un tremplin.

D’un même élan portons hauts nos valeurs, celles qu’incarne le Front de Gauche et ses candidats.

Ensemble portons son audience et sa représentativité au plus haut niveau. Ce sera bon pour toute la gauche, ce sera bon pour nous tous peuple de gauche et peuple de France !!

 

En un seul vœu : en 2012 offrons nous un France retrouvée, celle chantée par Ferrat, où l’humain sera au centre de toutes les décisions. Offrons nous le départ de celui qi aura été le plus grand bonimenteur de la Vième République, le nomme N. Sarkozy…

Et en même temps offrons nous le départ des ses députés zélés qui agissent, notamment dans notre département du Var depuis trop longtemps.

 

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Jean-Marie Bernardi et Isabelle Perez candidats(es) dans la 4ième circonscription du Var.

 

      

 

  

Publié dans Elections 2012.

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